Jamais trop s’éloigner. Je ne dois pas manquer à Paris, mais Paris me manque. Oh, ne croyez pas déceler l’arrivée d’une moindre nostalgie, d’un certain mal du pays, d’une furieuse envie de métro ou de trottoirs sales. Non, c’est juste qu’un bon croissant de la rue du Bac, dans son petit sachet blanc, vous savez, avec les miettes au fond, qu’on déguste en oubliant la circulation… euh, je m’égare.
Oui, je voulais vous parler des Petits Parisiens. Non (Manu) je n’ai pas fondé un club de « gens de petite taille originaires de Paris ». Laisse-moi finir ! Quoique. Il y a du vrai là-dedans, sauf qu’ils ont entre 2 et 5 ans et sont australiens. Donc je les dépasse quand même un peu…
Et puis c’est moi qui lis les histoires, planque les marionnettes dans le jardin, teste les biscuits de pâte à modeler, fais le lion pour aller se laver les mains, sers de cobaye pour les activités peinture, apporte le lunch, range le bazar, change les couches… Wahou.
Et dire que pendant ce temps-là, vous dormez.
Oui, je voulais vous parler des Petits Parisiens. Non (Manu) je n’ai pas fondé un club de « gens de petite taille originaires de Paris ». Laisse-moi finir ! Quoique. Il y a du vrai là-dedans, sauf qu’ils ont entre 2 et 5 ans et sont australiens. Donc je les dépasse quand même un peu…
Et puis c’est moi qui lis les histoires, planque les marionnettes dans le jardin, teste les biscuits de pâte à modeler, fais le lion pour aller se laver les mains, sers de cobaye pour les activités peinture, apporte le lunch, range le bazar, change les couches… Wahou.
Et dire que pendant ce temps-là, vous dormez.
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